ALAQ Le projet « Archéologie du littéraire au Québec »

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Archéologie du littéraire au Québec XVIIe-XIXe siècles

Qui sommes-nous?

Gazette Littéraire

Placé sous la direction de Bernard Andrès, le projet « Archéologie du littéraire au Québec » (ALAQ) est subventionné depuis 1991 par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). Il a aussi bénéficié des fonds de la Bourse Killam du Canada et du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC).

Le projet ALAQ consacre ses travaux aux premières réalisations de la littérature québécoise. Il s'est d'abord attardé aux écrits des années 1759-1840. Ces productions — et leurs auteurs — ont longtemps été négligés par les historiens littéraires. Les deux premières phases du projet ont permis de mettre au jour et d’analyser les premiers textes littéraires conçus et diffusés au Québec entre la Conquête anglaise et le tournant du XIXe siècle. Les travaux de la troisième phase ont servi à brosser le portrait du Canadien, tel qu’on le représente dans les toutes premières œuvres diffusées au Québec et au Bas-Canada, ou encore tel que le Canadien se définit lui-même dans ses écrits. Le quatrième volet du projet a porté sur l'évolution du discours utopique au Québec entre la fondation de la Nouvelle-France et la fin du XIXe siècle. La phase suivante s’est intéressée à la figure de l’aventurier canadien au XVIIIe siècle et à son rôle dans l’évolution identitaire et culturelle du Québec naissant. Le dernier volet portait sur le réseau intellectuel de Jacques Viger (1787-1858) : auteur, animateur et premier maire de Montréal. Le projet en cours (subvention CRSH-Savoir, 2012-2016) s'intéresse à l'Archéologie littéraire de l’humour au Québec (XVIIe-XIXe siècles).

On trouvera sur ce site les principales réalisations de l’ALAQ ainsi que la liste et les productions de ses collaborateurs et collaboratrices.

La guerre de 1812. Journal de Jacques Viger


La guerre de 1812. Journal de Jacques Viger, Présenté et commenté par Bernard Andrès avec la collaboration de Patricia Willemin-Andrès, Québec, Presses de l'Université Laval, collection L'Archive littéraire au Québec, série Monuments, 2012, 158 p.

1812-1814 : une guerre fondatrice pour le Canada ? C’est ce qu’avance en 2012 le gouvernement fédéral dans ses commémorations du bicentenaire. Mais qu’en fut-il vraiment pour les Voltigeurs canadiens qui, sous les ordres de Charles-Michel d’Irumberry de Salaberry, repoussèrent l’invasion américaine? Un témoignage direct et souvent critique sur cette guerre nous permet de revivre l’événement au jour le jour et de mieux comprendre la mentalité des Canadiens engagés dans la bataille.

Le journal de campagne et la correspondance que nous proposons ici sont le fait d’un jeune capitaine des Voltigeurs : Jacques Viger. À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d’un important réseau familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu’il adresse à son épouse, Marguerite de La Corne-Lennox, font les délices du salon littéraire qu’elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.

  • Recension parue dans Le Devoir
  • Critique parue sur le site de la Librairie Pantoute

Histoires littéraires des Canadiens au XVIIIe siècle

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Histoires littéraires des Canadiens au XVIIIe siècle*, Bernard Andrès, Québec, Presses de l'Université Laval, collection L'Archive littéraire au Québec, série Approches, 2012, 327 p.

L'origine des lettres québécoises remonte au XVIIIe siècle. C’est ce que relève ce travail archéologique sur un patrimoine littéraire longtemps négligé par les historiens : les représentations du Canadien par des Européens dans les dernières décennies de la Nouvelle-France, mais aussi les premiers textes conçus et diffusés par les Canadiens eux-mêmes dans la nouvelle Province de Québec puis au Bas-Canada.

La figure du fier et indiscipliné Canadien parfois assimilé au «Sauvage» traverse en Nouvelle-France les écrits de Lahontan, de Lafitau, de Charlevoix et de Mgr de Saint-Vallier. Elle hante aussi les récits de Beauchêne, de Lesage et de Voltaire, comme les témoignages de Kalm, de Montcalm, de Bougainville et de madame Bégon. Mais cette dernière est canadienne et c’est de l’intérieur qu’elle livre alors son point de vue sur ses compatriotes.

Au lendemain de la Conquête anglaise, les lettrés canadiens prennent eux-mêmes la plume pour défendre leurs intérêts et résister à l’assimilation. L’imprimerie et les premières gazettes leur fournissent de nouvelles armes dont ils tirent parti en s’initiant aux «Belles lettres» et à la politique. Chansons, récits, poèmes, mémoires et polémiques, mais aussi productions théâtrales animent le paysage culturel, alors que grondent les révolutions américaine et française. Les plus hardis connaissent la prison. Dans cette première génération d’écrivains se côtoient des Canadiens de naissance comme Saint-Luc de La Corne, Mézière, Bailly de Messein et Plessis, mais aussi des Français installés à demeure, comme Mesplet, Jautard, De Sales Laterrière et Du Calvet.

  • Voir le compte rendu de Laurent Turcot dans Les Cahiers de lecture de L'Action nationale, vol. 7, no 2, printemps 2013, p. 24.

*Gagnant du prix Gabrielle-Roy 2012 décerné par l'Association des littératures canadiennes et québécoise pour le meilleur essai sur la littérature canadienne et québécoise publié en français.

Entretiens sur l'éloquence et la littérature


Entretiens sur l'éloquence et la littérature de Joseph-Sabin Raymond. Édition critique établie par Marc André Bernier et Marie-Lise Laquerre, Québec, Presses de l'Université Laval, collection "L'Archive littéraire au Québec", 2012, 170 p.

Joseph-Sabin Raymond est l’auteur d’Entretiens sur l’éloquence et la littérature qu’il compose vers 1833 et qui, depuis lors, étaient restés inédits. Lecteur enthousiaste de Chateaubriand et des romantiques, il s’y livre à une critique fiévreuse de la raison et des Lumières, pour mieux exiger de la littérature qu’elle fasse entendre les accents puissants d’une parole pathétique. Cette édition permet au lecteur du xxie siècle de découvrir un texte où, pour la première fois au Québec, la tradition rhétorique enseignée dans les collèges s’épanouit dans une réflexion sur les pouvoirs de la littérature. C’est pourquoi la découverte de ce manuscrit où se formule une véritable esthétique de l’exaltation offre un point de vue privilégié sur l’univers culturel des collèges classiques de jadis, dont Raymond aura été l’un des plus brillants représentants.

  • Voir le compte rendu de Jean-Guy Hudon paru dans Nuit Blanche, no 130, p. 55.

Éditer la Nouvelle-France

Éditer la Nouvelle-France

Éditer la Nouvelle-France, Andreas Motsch et Grégoire Holtz, dir., Québec, Presses de l'Université Laval, collection l'Archive littéraire au Québec, série Forums, 2011, 262 p.

Cet ouvrage invite à réfléchir sur les choix éditoriaux qui façonnent notre réception et notre compréhension de la Nouvelle-France. D’abord quels textes ou documents sont à éditer ? Et surtout, comment le faire ? Quel sens prend cette démarche dans un moment historique marqué par la crise de l’imprimé, la concurrence des médias électroniques et par le questionnement sur le multiculturalisme et l’héritage du passé colonial ? De l’histoire complexe de la publication des Voyages de Cartier au XVIe siècle aux éditions actuelles, scientifiques ou populaires, sans oublier les nombreux manuscrits et lettres qui constituent l’archive de la Nouvelle-France, la publication des témoignages a toujours engagé, au-delà de l’érudition, une vision du monde. Au croisement de l’histoire coloniale, de l’histoire du livre et de l’analyse littéraire, Éditer la Nouvelle-France réunit les contributions de spécialistes qui interrogent à nouveaux frais les enjeux idéologiques et éditoriaux éclairant ce lieu de mémoire et de partage du passé canadien.

La Gazette littéraire de Montréal

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La Gazette littéraire de Montréal, édition présentée par Nova Doyon, annotée par Jacques Cotnam, en collaboration avec Pierre Hébert, Québec, Presses de l’Université Laval, collection L’Archive littéraire au Québec - Série Monuments, 2010, 977 p.

Parue durant les années 1778 et 1779, la Gazette littéraire de Montréal se distingue pour de nombreuses raisons : premier périodique lancé à Montréal, premier hebdomadaire de langue française fondé au Québec et premier journal censuré par les autorités politiques. Outre son intérêt patrimonial et littéraire, le périodique édité par l’imprimeur Fleury Mesplet et par le rédacteur Valentin Jautard témoigne d’une époque intense en événements politiques et culturels; le Québec fait l’apprentissage de l’espace public, alors que gronde la révolution américaine, prélude à la Révolution française. Soupçonne-t-on que l’esprit les Lumières a déjà atteint nos rives ?

En éditant pour la première fois la Gazette littéraire de Montréal dans une version intégrale et enrichie de nombreuses notes explicatives, nous rendons enfin accessible l’un des textes fondateurs des lettres québécoises.

Consultez la table des matières

Critique parue dans Le Devoir

Article paru dans The Gazette

Compte rendu paru dans Lettres québécoises

Plus d'articles...

  1. St. John de Crèvecœur et les Lettres d'un fermier américain
  2. Journal du siège de Québec du 10 mai au 18 septembre 1759
  3. La Conquête des Lettres au Québec (1759-1799)
  4. Rendez-vous manqué avec la révolution américaine. Les adresses aux habitants de la province de Québec diffusées à l’occasion de l’invasion américaine de 1775-1776

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